Glisser une maille
sans la tricoter.
Glisser une lame de
patin — se déplacer.
Glisser sa main —
caresser.
Glisser sa robe —
intriguer.
Glisser sur l’eau
sans couler. Admirer le décor, ses occupants, ses qualifiants, sans interférer.
Comment concilier
la consommation de la substantifique moelle et le désir que l’on croit
impossible à assouvir?
Comment équilibrer
la jouissance du moment présent et l’acceptation de sa fin?
Comment avoir
confiance au lendemain quand on a à peine compris le jour d’hui?
Avoir trouvé mon yang, la plus belle découverte qu’il m’a été donné de faire.
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