Parfois il faut pleurer.
Toujours il faut respirer.
Heureusement que le second est un automatisme, car certains jours, j’oublirais...
Chaque étape de la vie contient son lot de défis, de joies, de peines, de bonheurs, de déceptions, de découvertes, de questionnements, de remises en question.
Parfois il faut pleurer.
Toujours il faut respirer.
Parce que si les larmes exultent les toxines, l’oxygène regénère le sang. Il alimente les organes et les muscles.
Parfois pleurer permet de respirer.
vendredi 31 mai 2019
S'abonner à :
Messages (Atom)
L’hiver prépare un lit vert
Chaque saison a sa pertinence, son utilité, sa durée. Parfois, on peut expliquer chacun de ces éléments en cours d’existence. Parfois,...
-
J'espère que vous y croyez, vous aussi. :) J'ai terminé un projet de tricot qui me procure une joie intense. Il s'agit d...
-
Une amie a abordé la question de son mot de l'année sur son blogue ( Ladybird ). N'ayant pas pris de résolutions claires pour la nou...
-
Glisser une maille sans la tricoter. Glisser une lame de patin — se déplacer. Glisser sa main — caresser. Glisser sa robe — intriguer....