Un terme dont je ne me sers à peu près que pour le transformer en introspection. Je ne me sens pas l'âme d'une exploratrice au sens géographique, bien que je doive admettre que mon enfant intérieur, lui, aime encore explorer le monde qui l'entoure.
Ce matin, grâce à ma fille, j'ai pu explorer l'univers d'un autre humain, ne serait-ce que quelques minutes.
Le jeune homme avait une planche à roulettes (skateboard) d'une forme inhabituelle (du moins pour nous deux) et mon ange s'est mis à compter ses roues - suffisamment souvent pour en venir à me demander pourquoi il y avait seulement quatre roues.
Le jeune homme a souri en la voyant pointer les roues du doigt pendant qu'elle comptait.
Je lui ai expliqué son questionnement et il a convenu avec moi que la question était bonne.
Nous n'avons pas élucidé le mystère, toutefois.
Au final, cette conversation légère et amusante était fort agréable pour commencer la journée.
jeudi 22 octobre 2015
mardi 13 octobre 2015
Faire un voeu, un souhait...
Ça peut sembler anodin.
Pourtant, le vieil adage dit bien qu'il faut faire attention à ce que l'on souhaite, car nous pourrions justement l'obtenir. Tel quel. Dans le texte. Sans nuance. Sans subtilité.
Une collègue a déjà souhaité, en début d'année, trouver un mari. Son souhait a été exaucé, à un détail près: il s'est avéré que l'homme était le mari d'une autre.
Une amie vit, ces derniers mois, un tiraillement entre savourer son quotidien et céder à l'appel de la nouveauté, de l'engouement de la découverte. Je lui pose souvent la question suivante: est-ce que tu t'éprends de la personne qui te fait miroiter cette nouveauté ou de la sensation? Parce que je sais la différence, dans ma vie.
Tomber amoureux de l'amour, ce n'est pas un fait rare. Le faire consciemment, ça ne fait pas (nécessairement) moins mal quand le sujet de l'amour disparaît.
Ça rend la décision plus éclairée.
Pourtant, le vieil adage dit bien qu'il faut faire attention à ce que l'on souhaite, car nous pourrions justement l'obtenir. Tel quel. Dans le texte. Sans nuance. Sans subtilité.
Une collègue a déjà souhaité, en début d'année, trouver un mari. Son souhait a été exaucé, à un détail près: il s'est avéré que l'homme était le mari d'une autre.
Une amie vit, ces derniers mois, un tiraillement entre savourer son quotidien et céder à l'appel de la nouveauté, de l'engouement de la découverte. Je lui pose souvent la question suivante: est-ce que tu t'éprends de la personne qui te fait miroiter cette nouveauté ou de la sensation? Parce que je sais la différence, dans ma vie.
Tomber amoureux de l'amour, ce n'est pas un fait rare. Le faire consciemment, ça ne fait pas (nécessairement) moins mal quand le sujet de l'amour disparaît.
Ça rend la décision plus éclairée.
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